Un imaginaire cousu dans l'inspiration baroque jusqu'à l'outrance des miroirs des ors des roses fushia magenta des rouges carmin vermillon et autres violences dont on ne sait plus si on doit en rire où les regarder avec la mémoire des contes cruels de l'enfance décousue. Les objets n'ont plus le nom d'objets, leur vie ne leur appartient plus, même les miroirs, disques démunis du son et des images enregistrées n'apportent que quelques reflets masqués surgissant des éclairages transitoires. Les dentelles noires sont des structures anciennes désuettes qui tentent d'harmoniser l'apparence des contes de fées, un assemblage où le quotidien entre dans le jeu du dérisoire... Thésée